LA CASSURE...
Ce regard que j'ai vu dans tes yeux,
était celui de l'ennemi de dieu.
Tu as enfoncé dans mon coeur un pieu.
Gravé dans ma mémoire un sentiment douloureux.
Toi que j'aimais aveuglément.
Je te chérissais autant que mes enfants.
Un homme d'honneur, drôle et aimant.
Mon idole! J'admirais ton talent.
Quand je pense à toi, des larmes innondent mon visage.
Mon coeur se serre quand il voit ton image.
Pourquoi tant de hargne et de rage?
Moi qui t'appuie et t'encourage.
Tu as provoquer une cassure irréparable.
Adopté un comportement inacceptable.
Cette violence est injustifiable.
Quelle fatalité inconsolable.
Inconditionnel pour toi est mon amour,
Mais près de toi, c'est trop lourd.
Puisque nous sommes liés pour toujours,
je te pardonnerai un jour.
Tu sais, nous faisons tous des erreures.
Et les reconnaitre servent à nous rendrent meilleurs.
Cette orgueil, qui te ronge de l'intérieur.
C'est elle, la sources de tes malheurs.
Pourquoi tant de misères à accepter tes tords?
Ce sont eux qui provoquent tes colères, puis tes remords.
Ce que pensent les gens, prend trop d'essors.
À vouloir être grand, tu n'es pas fort.
La perfection n'est pas de ce monde.
Il est normal que la colère gronde.
Mais le contrôle fait les grands de ce monde.
Et sans lui les réduisent en une seconde.
Ce liquide malicieux que tu avales.
Celui qui te rends tel un animal.
STOP!!!...Avant que ça te sois fatale!
Pour nous, une séparation est l'idéale.
Trafficante de poésie 2007