LA CASSURE...

Publié le par Trafficante de poésies

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Ce regard que j'ai vu dans tes yeux,
était celui de l'ennemi de dieu.
Tu as enfoncé dans mon coeur un pieu.
Gravé dans ma mémoire un sentiment douloureux.
 
Toi que j'aimais aveuglément.
Je te chérissais autant que mes enfants.
Un homme d'honneur, drôle et aimant.
Mon idole! J'admirais ton talent.
 
Quand je pense à toi, des larmes innondent mon visage.
Mon coeur se serre quand il voit ton image.
Pourquoi tant de hargne et de rage?
Moi qui t'appuie et t'encourage.
 
Tu as provoquer une cassure irréparable.
Adopté un comportement inacceptable.
Cette violence est injustifiable.
Quelle fatalité inconsolable.
 
Inconditionnel pour toi est mon amour,
Mais près de toi, c'est trop lourd.
Puisque nous sommes liés pour toujours,
je te pardonnerai un jour.
 
 
Tu sais, nous faisons tous des erreures.
Et les reconnaitre servent à nous rendrent meilleurs.
Cette orgueil, qui te ronge de l'intérieur.
C'est elle, la sources de tes malheurs.
 
Pourquoi tant de misères à accepter tes tords?
Ce sont eux qui provoquent tes colères, puis tes remords.
Ce que pensent les gens, prend trop d'essors.
À vouloir être grand, tu n'es pas fort.
 
La perfection n'est pas de ce monde.
Il est normal que la colère gronde.
Mais le contrôle fait les grands de ce monde.
Et sans lui les réduisent en une seconde.

Ce liquide malicieux que tu avales.
Celui qui te rends tel un animal.
STOP!!!...Avant que ça te sois fatale!
Pour nous, une séparation est l'idéale.
 
                                                                                                                                Trafficante de poésie 2007

Publié dans POÊMES

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E
Le coeur d'une femme a ses raisons que la souffrance et l'amour connaissent bien. Je suis un coeur tendre et une âme dévouée. Je n'ai jamais eu à prouver quoique ce soit par la violence et personnellement je ne crois pas qu'il y a beaucoup de choses que j'ai pas réussi à faire valoir. Je ne me prends pour un exemple en matiere de Pacifisme et de tendresse...je ne fais que te demander pardon pour cet homme, si perdu, qu'il a dû avoir recours à une si malhonnete et blessante méthode. Sans aucun doute, je suis sûr que ceux et celles qui te connaissent, pas moins qui lisent tes poemes, seront d'accord à ce qu'on te disent ensemble '' Isabelle, pardonnes lui car il ne sait pas ce qu'il fait''. Ce n'est pas pour rien que la nature a doté la femme de la plus grande compassion qui n'existe nulle part ailleurs et d'assez d'amour pour soulager les coeurs meme les plus désespérés.<br /> Je te soutiens et écrire dans ses moments est de l'or sur papier. Merci pour tous et pardon pour celui-là<br /> Evens.
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